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Un ciel rose a repeint du Baou les sentiers
Pour vénérer des yeux sur la mousse menue L'arbousier enlacé d'une ombre jusqu'aux pieds Amant inséparable de la nature nue
Et renait le grandiose comme un défi au rien
Les oiseaux se sont tus et l'harmonie de l'âme Se berce au vent des fleurs d'un printemps bohémien Qui soulève d'Amour le parfum d'une Femme
Bonjour, Merci beaucoup Matthale et oui avec le temps ce qui doit arriver , arrive, je te souris, en te remerciant, je suis très touchée de ton attention poétique